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21 octobre 2009 3 21 /10 /octobre /2009 19:54
En ces temps la nature nous montre comment  lâcher ce qui appartient à un autre cycle. 
L'été nourrit de lumière exterieure a intégrer en soi jusqu'au solstice d'hiver ( connecter la lumière intérieure , et retrouver les qualités de l'essence)

Invitation à l'interiorité.

La nature  montre comment l'énergie des couleurs descend dans la terre.  Elles correspondent d'ailleurs aux chakras (vert coeur / jaune  plexus/ rouge racine...)
Le vent souffle, balaye feuilles et fruits, la pluie aide cette descente et amorce un nettoyage de fin de cycle. La terre se nourrit et rentre en hibernation.

Descente pour amener la lumière dans les profondeurs....reconnection de vieilles mémoires, zone d'ombre, angoisse de vie ou de mort, d'ou toute la symbolique d'halloween (fête celtique à la base) : les monstres tapent à la porte, offrande de bonbons pour qu'ils nous laissent tranquille jusqu'à l'année prochaine.
Certe ce n'est pas la période la plus confortable de l'année (surtout novembre avec l'energie du scorpion) mais du coups c'est une grande opportunité de tranmutation et de sublimation pour trouver nos trésors.
Avec cette conscience là, c'est tout de suite plus intéressant.

Porte énergétiques importante fin octobre début novembre avec une ouverture des différents plans, donc idéale pour les pratiques à condition de bien poser ses intentions;

- 31 octobre esprit de la terre, demons sous terrain
- (celtes) fêtes des  eveillés réalisés
- fête des mort (vivant)/ des non éveillés en processus de conscience.



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7 septembre 2009 1 07 /09 /septembre /2009 11:43

Toujours dans la lignée « le quotidien comme pratique spirituelle » : le footing.

D’une manière générale j’aime bien courir, c'est souvent un peu dur de se motiver et de l’inscrire dans la durée  mais une fois le pas lancé, l'expérience intérieure est  intéressante.

 

Le temps de se mettre en mouvement, trouver une cadence au niveau de la respiration et je peux descendre en introspection pour faire l’état des lieux interne.

 

D’abord les appuis : lâcher tout son poids, se laisser porter par le sol dans le rebond de l’élan Conscientisation de la plante des pieds, souplesse des chevilles, derrière les mollets et les cuisses, fluidité du mouvement etc… Je passe du temps sur les genoux : important. D’ailleurs les coureurs ont souvent des soucis à ce niveau c’est abusé comme on tient à cet endroit Pour cela j’utilise toujours le même principe :l’INTENTION dans la direction et le lâcher. Pour les genoux par ex c’est la direction de la rotule en avant qui pli et emmène toute  la jambe et non pas la jambe qui se plie Bref pas évident à décrire, c’est à tester et observer.

Amusant, je n’ai aucune notion d’anatomie mais j’ai toujours un genre de « tableau de corps » qui apparaît ou je peux voir les mouvements squelettiques et musculaires en temps réel, avec les zones de blocages grisées. Pratique !

Du coup j’apprends vraiment à vivre le corps dans le juste empilement prévu pour son utilisation  optimal et naturel. Et c’est bien plus facile que se qu’on en fait à force de tension et de volonté.

 

Le souffle à un grand rôle la dedans (et oui on retrouve toujours les mêmes choses )

Il y a le rythme qui instaure un flux, une concentration dans laquelle on peut s’abandonner. A chaque expire je fonds les tensions dans le hara ou dans un point fictif que je place 50 cm au dessous de mes pieds dans le sol. Partout ou il y a tension, je mets du souffle pour remettre en mouvement la zone dans la respiration globale (réunification). Du coup je chope jamais de point de coté. Si on ne perçoit pas très bien ces mouvements internes, mettre l’intention suffit toujours.

 

Vient un moment ou l’on est suffisamment décrassé et moins fragmenté et la c’est l’extase totale. (Ca doit correspondre aussi à la sécrétion d’une certaine  hormone au niveau physiologique)le décor  devient lumineux, fluorescent, tous les sens en peuvent plus, exaltation générale, le vent  la foret, la rivière chantent et dansent les gens sont magnifiques, je ne sens plus mon corps, je vol même ! A partir de la je commence à voir des petits être de partout qui en plus me font des grosses blagues (imaginaire fertile, shoot ou réalité ? toujours les mêmes questionnements mais c’est tellement bon qu’après tout peu importe)

 

S’installe un battement d’énergie, une respiration aurique qui se charge en lumière est relâche des nuages grisés ou verdâtre qui se blanchissent au fur et à mesure. La aussi il y a des stades, des passages de nettoyage et transmutations possibles. Tous repose sur sa capacité à les traverser tous en posant la conscience, l’intention et en s’y abandonnant. Si on refuse ou l’on ne reste pas en contact avec ce qui se présente, le corps manifestera une douleur, une tension qui limitera sa capacité physique ( en général on s’arrête là on peu plus respirer kaput).

 

Pour la gestion des traversées c’est comme pour le son : l’intention dans le souffle (sans vouloirêtre redondante) puis les aides de la nature qui vont fournir des visions  ou sensation pour trouver les passages dans le corps..entre autres.

 

Applicable à tous les sports qui permettent de garder ce contact intérieur. Bien sur il faudrait être dans cet état de présence et d’alchimie entre l’intention et l’abandon à chaque instant de vie y compris dans la relation au monde.

 Ou j’en suis c’est pas intégré  ce juste milieu, bonne connexion interne ou extérieur mais les deux en même temps,  pas fluide dans l’action.

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26 août 2009 3 26 /08 /août /2009 12:06

 






Un point sur ma pratique, bref bilan de l’expérience à ce jour.

avec tout le cheminement et les réflexions que cela soulève.

Je parle ici de son de la voix et la résonance du corps. 


      
      




         Intention - direction


La base est l’intention que l’on insuffle dans la pratique. Sans cela le son sera bénéfique grâce à  la respiration, à la détente qu’il procure physiquement,  mais sans allez vraiment en profondeur purifier les mémoires ou programmes qui peuvent désaxer et/ou fragmenter la pleine expression de l’Etre.

 

 

 

C’est important de prendre un temps pour sentir ce qui est là, comment je suis, quel sont mes besoins? Quels sont dans ma vie les enjeux sous jacents en cette période ? pour définir l’intention et accessoirement la pratique qui s’y prête le mieux.

Plus l’intention est claire, ciblée plus elle draine l’énergie de manière précise.

 

Exemple d’intentions :

La plus simple : AMOUR

 

 

Moule voyellique

 

Pour former les harmoniques le volume de la bouche est important ( le formant de la bouche donne la qualité de la voyelle c’est la aussi une direction  cf. article sur les son sources.) Il peut être bien au départ d’exagérer les ouvertures même si il y a quelques tensions, le son fait ensuite son passage et adoucit les éventuelles crispations. A force de pratique la juste position s’inscrit dans  le corps et l’ouverture, la mâchoire, le port de tête et la nuque s’ajustent,

A son passage le son sculpte la verticalité.

 

 

 

Intensité-  sensation de résonance, laisser sonner le son

 

C’est mieux de commencer par un son pas trop fort pour bien l’intérioriser, qu’il colle aux parois pour peu à peu prendre de l’amplitude  dans le souffle.

Ca évite d’être dans le vouloir faire, qui va souvent avec le  contrôle et le passage en force.

Une petite porte, le minimum pour favoriser le plein contact, la présence et l’écoute.

C’est intéressant d’observer en toute neutralité comment on se laisse inspirer aussi là…ça en dit long !!  

Observer le trajet du souffle dans sa pulsion naturelle car elle est pleine et juste, quelle zone est libre ? ou est ce que je bloque retient ? Ou est ce que je prends et habite l’espace?

Dans l’inspire et l’expire souffle libère, il gagne des espaces dans le corps et même au-delà.

 

Il me semble que tout  se joue dans l’entre deux de l’inspir et l’expir, c’est ici que l’on inhibe toute impulsion c’et ici que l’on s’abandonne, que l’on écoute.  Mais ce serait approfondir…

 

Le son n’est finalement qu’un vecteur d’intention, sa vibration est plus dense que l’énergie de la pensée qu’il porte, il féconde ainsi la matière, tel un catalyseur d’énergie.*

 

 

Le son devient plus ouvert, il résonne alors dans des espaces au-delà du corps. Dans ma sensation,  c’est comme si petit à petit je fusionnais avec des amas d’énergies plus ou moins stagnant dans les différentes couches de mon aura  ( ?j’imagine),  pour les remettre en vibration ( belle démonstration de ce qu’est se rassembler, se réunifier )

 

Quelques repères de sensation et d’images suggestives qui me sont propres :


     -         le son sonne à l’extérieure, s’ouvrir,  prendre appui dessus, le laisser rentrer et non pas le générer

     -         paradoxalement l’idée de donner/offrir son son   peut permettre la juste projection

     -         placer le son devant derrière autour, loin et non dans la bouche

     -         ne pas s’attarder sur la qualité du son mais rester dans l’intention

     -         lâcher dans l’expire du son et fondre les tensions dans le hara

     -         connexion bouche –bas ventre et appui colonne d’air jusque dans la terre (ouverture périné)

etc…

 

 

 Plus on s’unifie plus le son a des harmoniques, plus il vibre haut, tranche, purifie, et ouvre la conscience.

Ainsi on peut faire l’expérience de la « résonance »  d’un lieu (j’entends par là en se connectant à son énergie vibratoire par cette sensation, pas simplement son acoustique, quoiqu’il y a peut être des liens ?)  du coup j’ai la sensation de pouvoir aussi faire sonner,  chanter la résonance du vivant de cette manière. (énergie de la nature ou  autre c’est là ou ça me pose beaucoup de question, par ce que qu’est ce que je connecte vraiment ? quelles limites à cela ? quelles intentions ?…mais ce n’est pas le sujet ici non plus lol.)

 

La particularité est que j’ai  en permanence une sensation d’absolu avec le son

 –résonance absolue – comme un espèce d’appel  du Tout, Reliance.  Ce n’est pas un problème en soi, c’est même plutôt bon ; encore faut il être capable de ne pas s’obstiner dans cette quête perpétuelle armé de volonté, de résultat, en recherche de cette connexion que je sens au-delà, finalement la provoquer sans lâcher et se prendre une vautre au retour à hauteur des marches qui non pas été gravi.

 Là j’ai un peu de boulot.

Le challenge est de rester dans l’intention, détacher de ce qui ce passe même si il y a perceptions ou manifestations.    Intention Action Lâcher prise.

 

 

 

Ecoute et abandon, enseignement, passages et transmutations

 

S’abandonner dans la vibration du son. Contrairement à d’autre pratique de méditation je trouve qu’il est plus facile de s’abandonner car il suffit d’écouter pleinement et se laisser immerger. C’est là ou le son délivre de réel enseignement et montre la voie tant les passages qu’il prend dans le corps que dans le cheminement intérieur lors des  éventuels processus de transmutation. Dans une pratique il y a parfois des traversées : douleurs, tension, mental discursif, voix qui déraille, nausée, des émotions qui se pointent etc…


La manière de le gérer est un réel apprentissage (qui n’est que métaphore ;).)

                                                               -         être avec ce qui se présente

       -         accepter sans réagir  (accepter dans l’amour permet de réintégrer l’énergie)

       -         utiliser son pouvoir créatif pour faciliter les passages : c’est la ou l’imaginaire et la connexion au subtile est une grande aide (couleurs, visions inspirée de la nature ou même les fées qui viennent parfois te recoudre à coup de fil de lumière, sans parler des anges, c’est infini...

       -         en cas de grande détresse je demande simplement de l’aide aux énergies bienveillantes qui m’accompagnent même si je ne les discerne pas.

 

Cela ne se joue pas à tous les coups, il faut pratiquer suffisamment longtemps pour permettre de contacter pleinement ce qui est là.  20 minutes c’est pas mal, mais plus on pratique régulièrement plus le temps se réduit. L’action du son peut être très puissante et instantanée, le reste c’est une question de disposition. On peut gagner des années de thérapie en une seconde … !

 

La pratique en groupes peut être très puissante aussi, le taux vibratoire monte rapidement, l’intention et les énergies se conjuguent et portent chacun à lâcher au delà de sa conscience ordinaire. C’est une réelle force à laquelle peuvent s’allier d’autres énergies d’autres plans vibratoire et/ou d’autres espace- temps: lignées familiales, esprit de la nature/ élements, énergies animales,  êtres de lumières, non terrestre etc,  l’intention ou même le son  lui même (si il s’inscrit dans un pratique sacrée ancestrale) peuvent contacter des égrégores lumineux.

 Enfin tout ça n’est que le témoignage de mon vécu intérieur, le réel???
quelle réalité?

 

 

Champs d’application :

 

On peut approcher la pratique de son de différentes manières, ici je parle surtout de Sons sources et de chant harmonique qui s’inscrivent plus dans une démarche de Yoga,  mais cela peut s’appliquer  dans le cadre de l’improvisation libre par exemple ou  de chant méditatif à caractère répétitif (avec des paroles si possible lumineuse, parce que les chants militaires peuvent tout à fait convenir pour mettre dans un etat non mental mais c’est pas trop connecté !)

 

Ici on utilise la voix, je sais par mon expérience que c’est applicable aux instruments à vent (ce n’est que le prolongement) et même tous autres instruments j’imagine dans la mesure ou l’intention est la. Dans ce que je sens c’est comme si le bio champ de la personne fusionne avec la vibration du son de l’instrument, mais je n’ai pas encore trop exploré pour tout ce qui est percussion (et oui il va falloir y descendre dans la matière !).

 L’intention prime après le reste s’inscrit dans une disposition de pratique intérieur qui peut s’appliquer à toute activité.

 

 *******

 

 

 *C’est une marche pour connecter et aligner les plans (on oublie souvent que tout est une question de fréquence vibratoire : la lumière et les couleurs, ultra son harmonique, son audible par l’homme puis infra basse de plus en plus séquentiel pour aller vers le rythme puis la densité de la matière) (D’ailleurs si on développe chaque chose est donc une énergie dont on peut percevoir le son mais  c’est pas le sujet tout de suite )

Et le verbe devient chair…

 

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24 juillet 2009 5 24 /07 /juillet /2009 18:43
Sous son duvet de brume le lac  semble finir sa nuit.
Silence….
à pas de plume je m’immisce  dans la fraîcheur matinale
 fragile pudeur des premiers scintillement de la rosée...
 je laisse mes os se poser et plonge dans l’immobilité lacustre

 

Déjà l’eau ouvre son balai de reflet,
 le ciel fond et fusionne en milles faisceaux aux furtifs éclats,
les filaments d’or m’enlacent   et  m’élance valser en ces élixirs de lumière

 

Puis retour  là,
quelques chose s’éveille dans mes mains,
 une douce présence ondule, légère et fluide,  subtiles mouvances.
Un visage s’éclaire à l’interieur, je vois une femme qui danse,
c’est une flamme,    les larmes s'écoulent,
intimement touchée

 

Non loin  l’air palpite et m’appel ailleurs
Un arbre m’invite à rentrer dans son champ.
C’est toujours un grand soulagement pour mon corps de prendre tant d’amplitude.
Il me parle de mes jambes, ouvrir les pieds en de multiples canaux;
accepter d’être portée, accepter d’être nourrie et traversée par la source.
Ne rien tenir, serrer, vouloir faire ou assurer.
Juste être là,
Centrée,
Dans l’ouverture du cœur  accueillir le flux .

 

Il me prête ses racines et m’accompagne à ressentir  sa propre connexion
Chaque cellule se relie d’un fil pétillant....

 

Flottement,
je ne distingue plus mon fluide de l’eau des cieux

 

 

Seuls  yeux, oreilles restent au aguets,  refus.
Mon maître de l'instant m'invite à prendre place dans l’alignement de mon tronc,
à dé focaliser  pour intégrer l’écoute dans la membrane corporelle,  pousser les branches du regard  au-delà, dans chaque direction,   en vision périphérique pour rester dans l’axe..
  Le flux pousse, s"infiltre et accelère pour éclore en feux d'artifices de lumière
 je quitte l’ornière.

 

 

 

De la lumière de l’eau
Au feu de ma terre
Chaudes ondées
Invisibles réveillent
Le Souffle.

 

 

 

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15 juillet 2009 3 15 /07 /juillet /2009 11:11

 

 

5 sons, des voyelles sources.

 

« A »

 

Abondance, ouverture, Aventure, expansion, allez au delà des limites, ouvrir la conscience.

 

Chez  les tibétains c’est l’élément espace, chez nous « éther » ;

Correspond au plan atmique, à la planète Jupiter,  et au soleil (rayonnement du cœur), organe foie,  couleur blanc ou bleu ciel

Libération, bénédiction, expansion, le A libère la cellule, ouvre l’aura ; c’est une voyelle de purification.

 

Sans trop d’analogie fumeuse, on peut faire attention à la constitution des mots, (de quel vibration sont il constitué ?)  on  retrouve cette lettre dans Abracadabra, Amen, Allelouia, Sésame…Allah.

 

Mon ressenti en pratique varie selon les enjeux et l’intention formulée. Néanmoins la nature du son induit un certain mouvement des énergies connexion / ouverture/ rayonnement.

 

« A »  dans cette voyelle on retrouve toute les autres

Sa pointe relie à tout le cosmos un point qui rayonne dans toutes les directions

; ses 2 jambes descendent profondément dans la terre.

 

 

« O »

 

Energie de cohésion, aspect lunaire, coagulation ; rassemble les particules vibratoires.

C’est un son Yin qui ramène au féminin, à l’imagination, la sensibilité, + de fluidité, d’humidité, énergie de la mémoire, de l’inconscient.

Couleur bleu, organe vessie rein, élément eau, lié à Venus et neptune.

 

Je l’utilise beaucoup pour me rassembler quand le mental part dans tout les sens avec une intention d’apaisement et de sécurisation. Permet de se reconnecter à la matrice.

 

Souvent je m’installe dans le rond du O, je couche dedans, au niveau du bassin un temps puis fais une modulation sur le « A », = apaiser, rassembler  avant de libérer. J’aime bien cette modulation car elle permet vraiment de ressentir un phénomène de résonance.

 Le O rassemble les énergies stagnantes, sensation qu’il remet du mouvement dans les tensions La modulation en un souffle vers le « A » permet de montrer la direction aux énergies ; le rayonnement du A (plutôt à l’exterieur du corps dans la sensation) transperce, dissous et  l’intention posée fait son alchimie

J’essaie de mettre des mots sur une expérience, mais c’est plutôt à expérimenter pour comprendre je pense.

 

 

«  OU »

 

Profondeur, aide la vibration à épouser la forme du corps – sentir le vide et le plein – aide à vider la tête pour remplir le bassin- bon pour ancrage – accès à + de profondeur

Bon pour travailler la notion de territoire- limite intérieure / extérieure, énergie de solidité, stabilité, bon pour système osseux et peau ;  élément Terre (couleur jaune rouge ou marron selon traditions et sensibilité de chacun) planète Saturne ou Terre ; digestion des mémoires processus d’assimilation organe gros intestins - rate- pancréas

 

 Le meilleur pour sensation d’incarnation !

 

«  I »

 

Axe, verticalité, concentré d’énergie, traverse, fulgurance et lumière intense, laser

Force, il perce. Le « I »  intensifie les harmoniques.

 

Notion de sens (à sa vie, ces projets, trajectoire) ramène à l’essentiel bon pour les personnes qui ont tendance à se disperser.

 

Yang du Yang, mars lié au feu, méridien triple réchauffeur, couleur rouge ou blanc cristal.

 

Le « i » traverse les plans et attire les mémoires endormies vers la lumière (le sourire, sourire des yeux.)

 

Un son pas facile pour moi, souvent utilisé dans des modulations. C’est la force de la kundalini. Si la connexion du haut n’est pas fluide le « I » draine y toutes les énergies du coup ça bloque, tout s’accumule..

Peut être préparer le terrain avec d’autre pratiques sinon ça dépote trop, perso ça me met en vrac, cependant si il est bien amener il  fait sonner de vastes gerbes harmoniques qui intensifient  la pratique sur tous les plans, ça peut être puissant.

 

«  é »

 

Elan, énergie, lien entre les différentes parties du corps, agit sur les passages, relie les parties séparées, échange, messagé. Remet en circulation- communication.

Remet le mental en phase avec son origine, connexion, invocation, prolongation ; le 2 de l’épée qui permet de discerner, il fend l’air,  énergie du dépassement

Organe poumon, couleur vert ou argenté métal

Bon pour connexion neurologie et passage méridien.

Plus difficile a cerner comme qualité ; il prend tout son sens par exemple dans la pratique de l’arbre (cf « le pouvoir alchimique de l’arbre »)

 

Le « è » est plus doux, moins yang, directionnel, on le retrouve dans « aime ».

 

 

Comment les sons s’inscrivent dans un mouvement de création.

 

A partir de ces sons sources, on créer des enchaînements de voyelles, des modulations  pour remettre en circulation les énergies selon  les besoins et enjeux sous jacent. Le son donne la direction mais c’est avant tout  l’intention qui prime et fait la pratique.

 

 

 

 
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27 juin 2009 6 27 /06 /juin /2009 20:40
Une journée de désherbage au sein du jardin collectif. J'attaque à l'aurore après une nuit de fête sans sommeil. Au radar, la tête dans les celeris, etat d'autisme avancé. L'herbe s'enleve toute seule c'est bon, la pluie  a rendu la terre meuble, friable, comme du beurre fondu. J'aurai cru que les effluves de la veille m'annestesiraient completement mais non, je sens la présence de la forêt et souris interieurement  de voir tout ce petit peuple joyeux.
Je prends un plaisir dingue à arracher  ce qui parasite la croissance des plans, jusqu'à me plonger dans un espece de tripe à fondre dans la terre, je me connecter à cette matière jusqu'à en reconnaitre le goût dans mes propres cellules. Non j'ai rien pris, rien fumé non plus...A ssise à même le sol, mon bassin s'ouvre et se prolonge largement jusqu'au centre de la Terre. Je suis terre,    densité,    je porte,    suis portée...là.

 


Retour en ville, errance dans les embouteillages, je me perds et tourne pendant une heure....forcément un samedi de solde que du bonheur.
Je hais la voiture, la ville, la foule, les barrières de béton, j'ai une tendance à l'agoraphobie, la clostrophobie qui va jusqu'au malaise.  Pour gérer le stress et rester dans mon corps je rappel cette sensation de terre. Bloquée sous un tunnel je reste là avec, en m'immergeant dans son energie; je regarde les cloisons qui m'enferment et entends " nous aussi on est terre, partout c'est terre comme en toi"! Eclat d'expansion tout mon corps s'ouvre et se relâche pour s'apaiser dans un long sanglot organique.
Je reconnais.

L'eau ....je comprends alors que  la terre permet la circulation de l'eau. Sans ce contenant, ce filtre, elle stagne ou se disperse de toutes parts.
Fin de trajet en automatique, delectation organique voir orgasmique ; l"energie de la terre, de la chair,  pas très loin de l'energie sexuelle tout ça.
Bel enseignement, gratitude. J'aimerais m'installer pour toujours dans cet element qui procure paix, présence et plaisir dans la matière.
Rendez- vous au jardin!
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16 avril 2009 4 16 /04 /avril /2009 13:45
***
S
uspendue à  un fil de lumière

Je pends toute entière  dans le vide
 
Le vent me balance dans les airs

 J'oscille  de mes pensées avides


Un peu perdue si bas sur terre

Le présent même m'intimide

Plutot lâcher et laissez faire

Ou agir, intrépide?


Je m'en remets aux mains du père

Que le souffle sacré me guide

Car entre l 'ombre et la lumière

L'esprit s'aveugle, la peur decide.


***
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15 avril 2009 3 15 /04 /avril /2009 20:22
J'aime les arbres.
Ils sont proches de nous et en même temps si différents incarnant une autre dimension de l'espace et du temps.
C'est vrai que nous sommes mobiles contrairement à l'arbre mais nous portons nos racines dans le ventre (les intestins ; ))
C''est  sans doute les arbres qui m'ont apporté les premiers enseignements de  "réeducation à l'être"
Il m' ont prêté leurs racines pour dénouer les miennes, la robustesse de leur tronc pour puiser ma force, le déployement de leurs branches pour connecter le ciel...

Calme, puissance, générosité, sagesse...tant à prendre et à apprendre.
Grande symbolique dans toute les traditions!

C'est un bon compagnon de pratique en tous cas que ce soit en visualisation et/ ou pensées suggestives ou directement en contact.

Allez une petite de son pour se délecter de la saison!

Quelques directions pour planter le paysage:
La montée de la sève alimente l'ensemble de mes circuits et fait circuler la force vitale.
J'inspire la lumière du printemps.


"OU" : les racines se prolongent  et captent l'energie lumière de la terre (début tan tien)
"U" les energies se rassemblent et prennent appui dans le U  pour montée le long de l'axe du "I"
 
point du "I"  :haut du tronc  = troisieme oeil; l'energie se déploie à travers les neurones " è" et au delà pour se relier aux étoiles (idée de se brancher)  dans le "A" ouverture espace, rayonnement, offrande à l'energie du soleil
Le " O" redescend : lissage de l'aura, densification de la lumière jusqu'à la terre, dans la base, solidification, stabilité. and repeat
On peut ajouter un  mouvement  avec les bra
s, ça intensifie la circulation de l'énergie.


Pratique pouvant être utilisée avec intention "je prends ma place au sein des autres" par ex ou autres intentions liées à la circulation, le déploiement, la créativité, l'ouverture aux possibles ec...

A faire en nature c'est génial! Desfois quand je suis  pas trops "encrassée", j'entends le son des arbres qui s'allument et  accompagnent. Mais d'ordinaire c'est  juste le ressenti de l'arbre qui "englobe" ( un genre de sensation d'expansion quand je le contact) et  porte le son beaucoup plus loin. Après mes petites expériences,je pense que cela  accentue le potentiel de transmutation.
Est ce un genre de fusion avec le biochamp de l'arbre qui accentue la résonance et la circulation de l'énergie?
Allons savoir ce qui se passe vraiment...










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6 avril 2009 1 06 /04 /avril /2009 19:45

 

A force de  me perdre dans les vagues hormonales, j’ai finit par essayer d’observé le sujet de plus près.

Depuis que j’ai régulé mes cycles je suis calqué jour pour jour sur la pleine lune, avec ovulation en nouvelle lune. Du coup je ne distingue pas forcément les syndromes prémenstruels des manifestations dues à la lune, mais vraisemblablement c’est un tout. Faudrait lancer une petite enquête entre fille pour voir ce que ça donne. Avis aux dames de ce monde…

 

Je peux pas m’empêcher de faire le lien entre l’aspect « lunaire » c'est-à-dire les émotions, tout ce qui touche à l’inconscient, les parts d’ombres et les cycles féminins.

Du coup j’essaie d’observer ce qui se passe, identifier pour mettre à distance et ramener à la conscience. Parfois un peu dur mais à coup de « ce n’est qu’un passage » «  ce n’est pas toi  mais que l’activation d'un corps de souffrance blablabla» à force un espace c’est crée au dessus ( c’est le soum qui me l’a ouvert dans mes perceptions) je m’y élève d’un cran et je peux voir ce qui brouille d’un peu plus haut. Je vois (vision intérieure) un espèce de brouillard grouillant tout autour de moi, ça me permet d’être « avec » sans le subir fatalement. Indéniablement cette acceptation le dissipe et le transforme en partie. C’est comme si de là ou je me positionne, des fils de lumière s’infiltrent et dissolvent ces énergies de basses fréquences. Allez juste pour le plaisir de les rappeler : boulimie,  incontinence nerveuse, victimades en tous genres, corps fermé qui garde tout, tristesse et j’en passe…

Le processus est le même pour tout finalement, mais je pense que les femmes ont de fortes « opportunités » de nettoyage et de transmutation  chaque mois avec leurs menstruations.

Récemment quelques lectures m’ont confortées dans cette idée, j’avais envie de partager  un extrait des enseignements D’Eckart Tolle à ce sujet :

 

« En dehors de son corps de souffrance personnel, chaque femme porte en elle une partie du corps de souffrance collectif féminin, à moins d’être totalement consciente. (…) La douleur émotionnelle ou physique qui pour de nombreuses femmes précède ou coïncide avec le cycle menstruel est le corps de souffrance qui, dans son aspect collectif, est alors tiré de son état latent. Il empêche la libre circulation de l’énergie vitale dans le corps (les menstruations en étant une manifestation physique) Durant cette période la femme est complètement prise d’assaut par ce corps de souffrance, il a une charge énergétique extrêmement puissante qui peut facilement amener quelqu’un à s’identifier à lui. Dans ce cas un champ énergétique prend activement possession de vous, occupe votre espace intérieur et prétend être vous.(…)

Lorsque vous savez que vos menstruations approchent, avant même de ressentir les signes avant coureurs (c àd. Eveil du corps de souffrance collectif), restez vigilante et habitez votre corps aussi totalement que possible. Restez alerte pour en attraper la première apparition avant qu’il ne prenne le dessus, le contrôle de vos pensée ou de votre comportement (symptômes physiques ou émotionnels..colère etc..)Dirigez toute votre attention sur lui, sentez sa charge énergétique et soyez consciente de votre présence en force. Toute émotion éclairée se transformera. Attention totale égale acceptation totale. »

 

Ca sent bon le sacré tout ça.  Encore un nouveau jeu !!!

En tout cas je me marre bien en ce moment vu la pleine lune qu’on va se taper à la Pâques (Pâques = fin des 40 jours de purification) faut mettre le pactole !

Ca va être Menstrueux !

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5 avril 2009 7 05 /04 /avril /2009 19:12
Visualiser une marmite à la place du bassin avec une flamme en son centre.
Dans un premier temps faire sonner chaque voyelle lentement avec les intentions suivantes.

Je rassemble tous mes talents et mes qualités dans le "O" , les concentre dans le "U" (Appui du souffle) et les fait monté, jaillir dans le "I"

On peut enchaïner avec une phase  plus rapide "ouiouiouiouioui...", (très bonne pratique pour contacter son enfant intérieur, on peut le visualiser qui s'amuse et saute dans tous les sens)
C'est très dynamisant.

Une pratique de printemps pour éclore dans toute sa créativité!

Mon ressenti :
Permet de reprendre contact en son centre et de décrasser le canal central par la montée d'énergie, c'est une pratique qui apporte beaucoup de joie ( comme toutes potentiellement) une joie qui crépite du youpi! Evidemment tout dépend des éventuels processus en cours. J'évite quand j'ai des blocages au cou ou à la tête car la montée d'énergie l'accentue, j'évite aussi le soir avant de dormir,... trop exitant!
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